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Description
ATTENTION ÉVÉNEMENT : Découvrez en exclusivité numérique la toute nouvelle collection CHRONIQUE D'UN JOUR !
Plus qu’une éphéméride, retrouvez la Chronique d’un jour sur toute l’histoire de l’humanité.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur votre jour de naissance ou sur une date clef qui a marqué l’Histoire.
Des ouvrages précis et élaborés par les meilleurs auteurs des Éditions Chronique, réputées pour leur sérieux depuis plus de 30 ans.
Une collection à prix découverte unique pour apprendre sans se ruiner.
Sujets
Informations
Publié par | Éditions Chronique |
Date de parution | 06 janvier 2014 |
Nombre de lectures | 2 |
EAN13 | 9782366021790 |
Langue | Français |
Extrait
Plus qu’une éphéméride, retrouvez la Chronique d’un jour sur toute l’histoire de l’humanité.
© Éditions Chronique, Paris 2013, pour la présente édition.
L'œuvre présente sur le fichier que vous venez d'acquérir est protégée par le droit d'auteur.
Toute copie ou utilisation autre que personnelle constituera une contrefaçon et sera susceptible d'entraîner des poursuites civiles et pénales.
Accident ou attentat terroriste ? La question est sur toutes les lèvres, y compris celles de Michel Bréard, le procureur de la République. Il était 10 h 15 quand Toulouse fut secouée par une gigantesque explosion. Le drame s'est produit à l'usine Azote de France (AZF), dans un quartier sud de la ville. Le bilan est terrible, et il n'est que provisoire : ce soir, on dénombrait déjà quinze morts, une vingtaine de disparus et plusieurs centaines de blessés, dont cinquante dans un état grave. Le décompte final s'établira à 31 morts et 2 500 blessés.
Sans compter d'énormes dégâts matériels. L'usine est un champ de ruines et tout le quartier est dévasté. La déflagration a causé des dégâts dans un rayon de trente kilomètres. Et un nuage rose, chargé d'émanations chimiques qui se sont révélées finalement peu toxiques, a donné une allure inquiétante au ciel toulousain.
Appartenant au groupe TotalFinaElf et spécialisée dans la production d'engrais, l'usine AZF avait été classée Seveso et, de ce fait, soumise à des règles de sécurité très draconiennes. Pour le SRPJ, l'enquête commence : la piste terroriste sera rapidement écartée. Les experts concluront d'ailleurs à la responsabilité d’un stock de nitrate d'ammonium.
Pour les sinistrés, la situation est très dure. Le 11 novembre 2001, ils sont même un millier à manifester leur exaspération sur un parking du quartier du Mirail : bientôt deux mois après l'explosion de l'usine AZF, quelque 50...